Des exemples d’actions concrètes du Contrat de Ville

  • Des domaines d'interventions variés

    Le Contrat de Ville intervient sur des domaines très divers qui entrent en compte dans les difficultés sociales : la santé, l’emploi, l’habitat, le cadre de vie urbain, la scolarité, etc.  

    Voici quelques exemples, non exhaustifs bien sûr, d’actions concrètes financées dans le cadre du Contrat de Ville, et qui contribuent à atteindre ses objectifs.

     

  • L’aménagement d’espaces publics

    Plusieurs projets d’aménagements d’espaces publics ont été financés dans le cadre du Contrat de Ville, afin d’intervenir sur le cadre de vie des habitants. 

    C’est le cas notamment de la réhabilitation de la place de la Liberté ou de la rue de la République à Saint-Chamond ou de l’aménagement du square Marcel-Paul à Rive-de-Gier

     

  • La rénovation d’écoles et d’équipements publics

    Le Contrat de Ville permet d’intervenir sur les équipements publics afin qu’ils répondent mieux aux attentes des usagers. 

    Quelques exemples : la réhabilitation du centre social Le Colibri et la requalification du stade Saint-Saëns à Saint-Étienne, la restructuration du cinéma et du conservatoire de musique à Rive-de-Gier

     

  • Des interventions sur l’économie et l’emploi

    Le Contrat de Ville finance le déploiement de 12 relais emplois sur les quartiers concernés par la politique de la Ville. Objectif : aider les personnes les plus éloignées de l’emploi à se réinsérer dans la vie professionnelle en levant les obstacles sociaux.  

    Il soutient aussi la Fabrique à entreprendre, qui vise à accompagner les créateurs d’entreprise dans les quartiers prioritaires, en mettant à leur disposition des compétences d’experts, en leur donnant accès à des financements. 

     

  • Des actions sur la scolarité

    Le Contrat de Ville soutient des organismes qui mettent en œuvre des actions en faveur des scolaires.  

    Premier exemple avec les stages collectifs de 3è. Organisés par Face Loire, ils visent à trouver un stage aux élèves qui n’en ont pas et dont les parents, souvent, manquent de réseau.  

    Deuxième exemple avec le mentorat lycéen. Piloté par l’Afev (association de la fondation étudiante pour la ville), ce projet crée des binômes : d’un côté, un collégien en situation de fragilité sociale et/ou scolaire ; de l’autre un lycéen encadré par un bénévole de l’association. L’objectif, par ce soutien individuel, des sorties culturelles, des ateliers collectifs, est de prévenir le décrochage scolaire.