Dans le contexte de l’ère anthropocène, les étudiants de l’Ésad Saint-Étienne et de l’Université Jean Monnet interrogent les ressources plastiques du médium photographique.
À travers l’utilisation du plâtre et de la paille, les étudiants ont été invités à une réflexion sur l’utilisation de l’espace et des matériaux, et à une exploration des limites de la fonctionnalité et de la forme.
Recyclage, surcyclage ou upcycling… La durabilité des objets est mise à l’épreuve de cycles faisant apparaître leur viabilité sur une ligne temporelle, circulaire et non plus linéaire.
Dans ce workshop ,les étudiants étaient invités à réaliser des totems incarnant leurs désirs, leurs rêves personnels, pour pouvoir ensuite, pendant la Biennale, les partager avec le public sous la forme d’un « temple d’idoles ».
En partant du nouveau langage et des composants (typographie, pictogrammes) conçus pour la nouvelle identité visuelle de la Cité du design, les étudiants ont été invités à créer des messages sortant du cadre d’une charte graphique classique.
L’industrie du meuble fabriqué en grande série intègre dans son cycle de fabrication l’utilisation de matières premières recyclables, réemployables, mais aussi la gestion des chutes.
Cette exposition collective explore les dynamiques entre l’IA et la création artistique. Elle aborde la subjectivité, la relation à l’autre et le renouvellement potentiel que ces outils apportent à l’art.